L’ascension du Kilimandjaro, le plus haut sommet d’Afrique, est une expérience de randonnée extraordinaire qui attire des aventuriers du monde entier. Cette montagne, située en Tanzanie à 5 895 mètres, offre des paysages à couper le souffle, allant des savanes africaines aux glaciers éternels. Ce guide vous emmènera à travers les différentes étapes de cette ascension mythique, en vous fournissant des conseils pratiques et des informations essentielles pour réussir votre aventure.
Jour 1 : Sur la route Machame pour 6 jours de trek
Camp Machengo 3 009m d’altitude – Distance : 11km – Temps : 5 heure
Un bus vient nous récupérer à l’hôtel. Présentation de toute l’équipe. Pour ces six jours de trek, il y aura avec nous : deux guides, un cuisinier et douze porteurs, c’est-à-dire trois par personne. On prend connaissance du couple de Français qui fera partie de l’aventure. Après plus de trois heures de route, nous voilà arrivés à l’entrée du parc à 1 790m d’altitude. Il y a beaucoup d’agitation : de nombreux bus, beaucoup de touristes et de porteurs. Je dois avouer que je n’étais pas prête à être confrontée aux conditions des porteurs. Comme leur fonction l’indique, ils portent nos affaires ainsi que tout le nécessaire pour notre long périple. Ils ne s’économisent pas :
- Nous avons deux tentes pour nous quatre et une pour les guides
- Une toilette privée
- Une énorme tente pour la cuisine et une autre pour que l’on mange
Depuis quelques années, les conditions des porteurs sont censées s’être améliorées. Ils doivent porter 20kg maximum et doivent manger trois fois par jour (avant, c’était uniquement le soir). Je ne suis pas certaine que le poids était respecté ainsi que le fait de se nourrir autant que nous…
Tout au long du trek, nous avons très bien mangé. Tout était parfait, varié et très équilibré. Nous étions toujours très impatients de découvrir nos repas du jour. Ici, le service est une priorité, mais cela reste, pour moi, extrêmement gênant la différence entre eux et nous. Les hiérarchies sont très respectées. Tout le monde a un rôle bien défini. En haut de la liste : les guides, suivis du cuisinier. Les porteurs ont tous un rôle : le serveur, le porteur de sac, de tente, celui qui s’occupe des WC, ect. C’est tout de même très bien organisé, mais je trouve cela si difficile pour eux.
Parfois, le chemin est extrêmement pentu, nous devons un peu escalader et eux, sont si chargés. Leur rémunération reste un mystère. Nous ne savons pas si les porteurs sont uniquement payés par nos tips. J’y reviendrai à la fin du trek.
Revenons à nos premiers pas dans ce magnifique parc en direction du majestueux Kilimandjaro. Cette première journée se fait dans la forêt, une belle végétation dense. Il fait humide. Le chemin est agréable. Les guides nous laissent marcher à notre vitesse (un peu trop rapidement à leur goût). Nous découvrons le paysage, notre équipe, leur culture. Tout est vraiment génial. J’aime cette sensation de nouveauté, d’émerveillement et de découverte. Difficile de réaliser que ça y est ! Nous y sommes après plusieurs mois de préparation.
Nous arrivons à notre premier camp. Je suis impressionnée par le nombre de tentes. Je suis ensuite impressionnée par la rapidité d’installation de notre campement. Par politesse et par respect, nous les aidons dans cette préparation, mais nous comprenons rapidement que ça ne se fait pas. Nous ne devons pas les aider. C’est ainsi qu’ils fonctionnent. Nous devons nous adapter.
Alors que la journée se déroule bien, pour ce premier soir, je vais avoir une baisse de moral. Nous avons eu si froid en dînant. Je ne pensais pas que dès le premier soir, nous allions rencontrer cette difficulté, sachant que ça sera le camp le plus bas du séjour. Les guides nous mettent la pression par rapport aux conditions physiques et mentales, aux respects des étapes par rapport à l’altitude, à notre façon de s’alimenter et de s’hydrater, bref, ici on ne rigole pas. Je compare avec les nombreux treks que j’ai pu faire en Amérique latine. En Tanzanie, ils sont beaucoup plus prévoyants. Tous les soirs et tous les matins, nous prenions notre pouls et notre taux d’oxygène. Jusqu’ici, je n’ai jamais douté une seule seconde de mes capacités, je n’ai jamais songé à ne pas y arriver, mais ce soir, j’ai un doute.
Pour ces six prochains jours, ça sera une petite toilette dans une bassine avec de l’eau chaude. Nous avons à disposition du matériel très performant, que ce soit pour les tentes ainsi que pour les duvets. Nous avons loué des duvets, car les dernières nuits, il fera très froid.
Jour 2 : Poursuivons l’ascension vers le Kilimandjaro
Camp Shirka 3 823m d’altitude – Distance : 6km – Temps : 5 heures
Ce matin, je me réveille en pleine forme. Le fait d’avoir bien dormi m’a permis de reprendre toute mon énergie positive. Je suis prête pour ce deuxième jour. Notre rythme de ces prochains jours :
- Réveil à 6h30 avec un thé servi dans notre tente. La classe, n’est-ce pas ?
- 7h on nous apporte notre récipient pour se nettoyer
- 7h30 petit-déjeuner
- 8h départ
Notre itinéraire continue à travers la forêt jusqu’à atteindre une montée raide sur le plateau de Shira. Nous devons ralentir notre rythme et suivre les pas lents, très lents voire, trop lents de notre guide. Ici, on dit « polé polé » ce qui signifie doucement. Pour moi, c’est une difficulté. J’aime marcher vite, me dépenser, souffrir en montée, mais avec le dénivelé, nous devons respecter cette allure. J’apprends à être patiente et en profite pour admirer le paysage et jouir de chaque instant. Pour ma part, il n’y a pas de grandes difficultés. Tout se fait lentement, on laisse passer les porteurs, on patiente parfois, car il y a du monde sur le chemin et les rythmes sont différents. Nous faisons quelques pauses pour s’hydrater et s’alimenter. Nous sommes situés au-dessus de la mer de nuages, la vue est incroyable. Nous apercevons au loin le mont Meru s’élevant au-dessus de la ville d’Arusha.
C’est une belle journée qui passe vite. Nous arrivons au camp. La vue est magnifique. Nous déjeunons et ensuite, nous décidons de gravir une colline pour s’acclimater. Ce soir, c’est la fête. Des groupes de tanzaniens chantent et dansent pour célébrer la plus haute montagne d’Afrique. Une superbe énergie se dégage, on adore ! Ces musiques resteront dans notre tête tout au long de l’ascension.
On échange avec nos porteurs et nous essayons d’en savoir plus sur leur culture. Dans l’équipe, il y a un massai qui a quitté sa tribu pour essayer de changer de vie. Ces moments avec eux sont si riches et précieux pour nous. On se sent coupés du monde par ce challenge que nous visons et de ne pas avoir de réseau. Cette déconnexion est intense. Ce soir, je me sens bien et reconnaissante. Je me sens en pleine forme physique et mentale. Pour le moment, je ne rencontre pas de symptômes liés à l’altitude, contrairement à mes acolytes.
Jour 3 : Profiter de chaque étape et de chaque instant
Camp Baranco 4 000m d’altitude – Distance : 10km – Temps : 7 heures
Pour ce troisième jour, changement de décor, après des paysages verdoyants, nous rencontrons des panoramas beaucoup plus noirs et désertiques. Nous traversons le versant sud-ouest du Kilimandjaro, en passant sous la tour de lave. Nous montons déjeuner dans un palier plus haut que notre futur camp, dans l’objectif de s’acclimater au mieux. Pour ce lunch de luxe, les porteurs vont remonter les tentes du cuisinier et la nôtre pour déjeuner à l’abri du soleil. Une fois le repas terminé, nous redescendons vers notre nouveau campement. Le cadre est idyllique perdu entre deux montagnes.
Les journées se passent toujours aussi bien. Aucune difficulté physique, car nous marchons lentement et les montées avec beaucoup de dénivelé s’avèrent accessibles. Pour faire passer le temps, nous alternons entre des discussions, se perdre dans nos pensées, admirer le paysage et savourer. L’arrivée au camp se fait avec un énorme mal de crâne. Autant vous dire que j’ai remis en question toute mon existence.
Jour 4 : Se rapprocher un peu plus de notre objectif
Étape 1 : Barranco Camp 3 950m d’altitude – Distance : 6km – Temps : 4 heures
Étape 2 : Camp Barafu 4 591m d’altitude – Distance : 4km – Temps : 3 heures
Ascension du kilimandjaro 5 895m d’altitude – Distance : 4km – Temps : 6h – 840m de dénivelé
La route Machame se fait en six ou sept jours. Nous avons décidé de la faire en six jours. En effet, je suis de la team « abrégeons vite la souffrance et plus vite on y est, mieux ça sera ». Ça se paie de le faire en un jour de moins. Et c’est précisément aujourd’hui que nous ajoutons une étape en plus.
Aujourd’hui, nous rencontrons un peu plus de dénivelé que les jours précédents. Les paysages sont toujours aussi majestueux. C’est une ascension rocheuse, longue et fatigante. Nous passons sous le glacier du Kilimandjaro. Nous enchaînons avec des montées raides. La suite de l’étape nous amène à travers des pentes de cailloux et sans aucune végétation. C’est une marche raide et complexe, rendue encore plus difficile par l’altitude. Pendant la journée, il y a toujours beaucoup de monde sur la route. Quand nous croisons d’autres randonneurs, nous disons « Jambo » qui signifie bonjour. Depuis le début, nous avons beaucoup de chance, tous les jours, nous avons un magnifique ciel dégagé. Cette nuit sera très courte pour nous. À minuit, nous partirons pour gravir le plus haut sommet d’Afrique. La pression se fait ressentir.
Jour 5 : Le jour J
Camp Trek Mweka 3 500m d’altitude – Distance : 16km – Temps : 14 heures
- Réveil à 23h : Nous avons dormi moins de deux heures
- 23h30 : Nous mangeons un porridge (autant vous dire que ce repas à 23h30 m’a traumatisé)
- Minuit départ
Avant, nous faisons un point sur l’équipement :
Nous avions cinq couches de vêtements en haut, dont un manteau de ski, une doudoune, une polaire et deux manches longues. En bas : deux leggings polaires et un pantalon de ski. Au niveau de la tête : une cagoule et un bonnet. Au pied : une paire de chaussettes de randonnée et une paire de chaussettes polaires. À la main : deux paires de gants.
Rentrons dans le vif du sujet : je ne vais pas vous le cacher, cette ascension a été extrêmement difficile. J’avais sous-estimé le Kilimandjaro. Les jours précédents ont été faciles, il fallait bien rencontrer de la difficulté. C’est le trek le plus difficile de toute ma vie.
6h de montée, 6h de montée sans jamais en voir la fin, 6h de montée en pleine nuit. Nous attendions avec impatience le lever du soleil, signe que nous étions en haut, mais vraiment, ce soleil ne se levait jamais. En regardant en haut, je voyais toujours des frontales, encore et toujours plus hautes. Nous étions si fatigués que chaque pas a été difficile. J’aurais pu dormir debout. Je rêvais de dormir et de chaleur.
On commence par penser à plein de choses positives, à des projets, à des envies, à des rêves puis les pensées se terminent et commencent les doutes. Le mental prend le dessus et ce n’est jamais bon signe. Après plusieurs hésitations, je demande au guide dans combien de temps allons-nous arriver ? Est-ce qu’il nous reste encore beaucoup de temps ? Il m’a répondu mot pour mot : « je ne préfère pas te répondre. » Coup de massue numéro 1. Il finit par me dire d’enlever mon sac à dos, qu’il allait le prendre et que je me sentirais mieux, que j’aurais un peu plus d’énergie… Coup de massue numéro 2 : enlever mon sac ne m’a strictement rien fait. Je ne me suis même pas sentie plus légère. J’ai commencé à sérieusement me parler. Je crois que ces mots resteront gravés en moi : Virginie tu ne vas pas lâcher, ni pense même pas. Tu ne redescendras pas d’ici s’en avoir atteint le Kilimandjaro. Tu n’as jamais douté et ce n’est pas maintenant que ça va changer. 6h dans une vie c’est quoi ? Ce n’est rien !
Pour couronner cette ascension déjà difficile, sur le plan mental, nous croisions des randonneurs au plus mal, ne pouvant pas monter plus haut. Ils avaient atteint leur limite. 1 personne puis 2, 3 et 4. La dernière, nous a achevé. Elle était livide. Deux personnes la portaient par les bras, ses pieds ne touchaient même plus le sol. Elle avait une couverture de survie sur elle. Ce randonneur nous a clairement accablés moralement. Heureusement, les guides étaient là pour nous encourager et nous motiver. Tout se joue au mental et rien qu’au mental dans cette ascension.
Nous finissons par atteindre le sommet, j’étais si épuisée moralement que je suis restée cinq minutes à regarder le panneau indiquant que nous sommes au sommet du Kilimandjaro. J’étais totalement dans un autre monde. Impossible de réaliser. J’étais extrêmement fatiguée. Je ne suis pas certaine d’avoir savouré ce moment-là. Le guide nous annonce que nous allons marcher une heure de plus pour atteindre un autre sommet. C’est uniquement du plat, mais nous devons marcher sur de la glace. C’était très beau.
Pour le retour, j’ai retrouvé la forme. Je n’étais plus fatiguée, mais cette descente pour retourner au camp, était très éprouvante. Nous nous sommes rendu compte de la difficulté de l’ascension. Nous avons marché sur un chemin d’éboulement. Notre équipe nous attendait pour nous féliciter. Nous étions si fiers et fatigués en même temps. On déjeune, puis nous faisons une sieste d’une heure pour ensuite reprendre la route. Aujourd’hui, nous avons marché plus de 14h. Je crois que nous avons encore de l’énergie grâce à cette adrénaline et peut-être grâce à la résilience. En redescendant, nous retrouvons la forêt des premiers jours (ça sent bon la fin). On ne se rend toujours pas compte de ce que nous avons accompli plus tôt dans la nuit.
Jour 6 : la der’
Mweka gate 1 630m d’altitude – Distance : 10km – Temps : 5 heures
Pour ce dernier jour, nous avons le droit à des chants du groupe. Malgré la fatigue, nous nous prêtons au jeu : on chante, on danse et on rigole. Nous sommes nostalgiques de cette bulle que nous avons créée pendant ces six derniers jours. Nous repartons pour dix kilomètre en pleine forêt. Ce fut un chemin très reposant. Nous sommes tous dans nos pensées. En principe, nous parlions beaucoup, mais aujourd’hui le silence l’emporte. Une fois arrivée à la sortie du parc, nous signons un registre afin d’obtenir notre diplôme. Nous déjeunons une dernière fois tous ensemble. On prend ensuite la route pour aller dans nos hôtels respectifs. Nous sommes envahis par beaucoup de nostalgie et de fatigue. C’était chouette ces six jours !
Conseils pratiques pour organiser l’ascension du Kilimandjaro
Choisir la voie de l’ascension
Il existe plusieurs routes pour atteindre le sommet du Kilimandjaro, chacune offrant des défis et des paysages uniques :
- Marangu Route : Surnommée la « Coca-Cola Route », c’est la voie la plus populaire et la seule avec des refuges en dur pour les nuitées. Elle est relativement plus facile, mais offre moins de diversité de paysages.
- Machame Route : Connue sous le nom de « Whiskey Route », elle est plus difficile, mais offre des vues panoramiques spectaculaires et une meilleure acclimatation. C’est l’une des routes les plus populaires du Kilimandjaro. La route Machame a le taux de réussite au sommet le plus élevé. Elle commence sur le versant sud-ouest de la montagne et se dirige vers le nord. C’est celle-ci que nous avons choisie. Nous avons opté pour six jours, mais vous avez la possibilité de la faire en sept.
- Lemosho Route : Moins fréquentée, cette voie est idéale pour les amateurs de nature sauvage, offrant une acclimatation progressive et des paysages variés.
- Rongai Route : La seule route partant du nord, elle est plus aride.
Comment sélectionner son agence et négocier le prix ?
Cette partie n’est pas la plus simple à faire, mais elle est primordiale. L’agence occupe une énorme place dans votre voyage. Pour ma part, je suis allée sur Facebook sur les groupes des voyageurs en Tanzanie. Et j’ai fait un listing de six agences dont le nom revenait régulièrement. J’ai ensuite contacté chaque personne afin de connaître les différents prix et ce que cela comprenait. Le Kilimandjaro en privé coûte plus cher qu’en groupe. Le nombre de jours augmente le tarif et je suppose que le choix de la route aussi. Vous avez le choix entre des agences internationales, locales ou des guides. Généralement, les guides sont moins chers. Évitez de passer par les agences internationales et privilégiez les locaux.
J’ai sélectionné une agence locale KEI TOURS qui avait reçu énormément d’avis positifs. L’avantage des agences, c’est qu’elles s’occupent de tout : des transferts entre hôtels et aéroports, des nuits d’acclimatation à l’arrivée ou entre le kili et le safari, par exemple. Bref, il y a une certaine tranquillité de l’esprit que l’on a un peu moins avec un guide, car c’est à vous de vous occuper de ces parties.
Je vous recommande KEI TOURS. Nous avons passé un magnifique trek grâce à leur expérience, leur gentillesse et leur professionnalisme.
Combien coûte l’ascension du Kilimandjaro ?
J’ai contacté une dizaine de personnes qui ont eu recours à l’agence KEI TOURS pour avoir une idée de prix. Comme je l’avais imaginé, personne n’a le même tarif, mais j’avais besoin de me baser sur des prix. C’est à partir de ces informations que j’ai commencé la négociation.
Pour un trek de 6 jours en groupe, sur la route Machame, nous avons payé 1 350$ par personne. J’ai baissé le prix (kilimandjaro + safari) de plus de 1 100$. Un acompte vous sera demandé. Vous paierez le reste en cash ou par transfert d’argent le jour de votre arrivée.
Les tips
C’est toujours la partie délicate de ce voyage. Combien doit-on donner ?
Généralement, c’est entre 10 et 20% du prix total, mais chacun fait ce qu’il veut. Les tips sont destinés à toute l’équipe qui vous a accompagné. Là aussi, il y aura une différence dans la répartition : les guides recevront plus que les autres, ensuite le cuisinier et les porteurs. Les porteurs ont, eux aussi, une hiérarchie, vous pouvez également répartir votre argent par rapport aux différentes fonctions.
Vous pouvez donner des tips en dollars ou en monnaie locale. Il faut absolument avoir des petites coupures. C’est vous qui distribuez l’argent à chaque membre de l’équipe. Ce moment était extrêmement malaisant. On ne sait pas s’ils sont contents (généralement non). C’est dommage de terminer un trek de cette manière-là. Ils attendent les tips avec impatience, c’est pour cela que je me demande si les porteurs reçoivent un salaire.
Que devez-vous emporter pour faire l’ascension du Kilimandjaro ?
Vous trouverez dans ce lien un listing complet de tout ce dont vous aurez besoin.
Quand se rendre au Kili ?
Il est conseillé de faire le Kili de janvier à mars et de juin à septembre. Nous l’avons fait mi-juin et nous avons eu un temps magnifique tout au long de l’ascension.
Bon voyage !